FAR CINÉMA : avant – première à Saint-Denis : DERRIÈRE LE MUR, LA CALIFORNIE + Ateliers / Théâtre / Danse
Samedi 29 août 2015 – 14h à 00h – ENTRÉE LIBRE
- Projections en plein air
WIDE – International Sales & Distribution présente au 6b :
DERRIÈRE LE MUR, LA CALIFORNIE. Réalisateur : Merten Persiel
Trois gamins découvrent l’amour du skateboard sur les trottoirs fissurés de la RDA. Une folie, un sport inacceptable, c’est sûrement ce qui le rendait si excitant. Ce conte de fées à l’accent underground a été créé par ce groupe de jeunes qui ont pu capter leurs vies en Super 8, nous permettant ainsi de découvrir la vie en RDA comme jamais auparavant. Cette histoire commence dès leur enfance dans les années 70, avant de basculer dans les années 80 et leur adolescence agitée, jusqu’à cet automne 1989. Ils ont alors 20 ans et tout ce qu’ils ont connu est sur le point de changer à jamais.
En salle le 26 août 2015. Bande annonce
+ Projections des créations des ateliers de la Fabrique à Films : tout au long de l’été, Serge Glissant et Robin Dimet ont animé les ateliers de la Fabrique à Films dans le cadre de la 5e édition de la Fabrique à Rêves, au 6b. Une quarantaine de participants ont vécu l’expérience d’acteur, de réalisateur, de monteur et de scénariste. Le 6b vous invite à découvrir leur FILMS !
>> Projections au 6b à partir de 21h45 <<
- 19h30 – CONCERTS :
Black Market Karma – Psychedelic sound from London
- LES ATELIERS
14h – 17h : Atelier street art autour du Parcours Aucwin
Atelier animé par les street artistes résidents du 6b, Jungle et Joachim Romain, à l’initiative du Parcours Aucwin. Tout public, à partir de 3 ans accompagné d’un adulte. GRATUIT sur inscription à : inscription6b@gmail.com
14h – 18h : Atelier installation vidéo participative ludique et éducative
Animinus par Pauline Angotti plasticienne résidente 6b :
Qui n’a jamais rêvé d’entrer dans un dessin animé ou un jeu vidéo ? Traverser l’écran, se retrouver de l’autre côté et être le héros d’un univers imaginaire ?
Entrez et jouez dans un univers 3D cartoonesque avec l’installation audiovisuelle Animinus.
Les enfants sont invités à déambuler sur un fond vert. Il sont intégrés en temps réel dans un univers 3D projeté face à eux. C’est instantané, Ils peuvent se voir évoluer dans un paysage aux formes et couleurs im- probables. Après l’incrustation, les enfants sont amenés à découvrir une autre technique utilisée aujourd’hui en vidéo, le vjing ou comment manipuler des images vidéo en temps réel. Ils jouent alors avec les couleurs, la vitesse, et peuvent même faire apparaitre de nouveaux personnages ou objets plus fous les uns que les autres !
15h – 17h : Atelier arts plastiques – Les Mille et un Livres
Sculpture de Livres
Par Valentina Canseco, plasticienne résidente 6b – Sur la plage. Public de 6 à 10 ans.
16h – 19h : Atelier arts plastiques – Faire nid
Découverte de la biodiversité à travers des pratiques artistiques contemporaines. Par Alexandra Arango et Julia Maria Lopez Mesa – Sur la plage. À partir de 7 ans.
- 15h et 18h : PERFORMANCE THÉÂTRALE
Deux représentations : à 15h et 18h (45 min. chacune) – Salle de projection/1er étage
La Communauté Inavouable présente Tunisia
Solo autofictionnel de Clyde Chabot réalisé avec la complicité de Stéphane Olry. Avec Tunisia, Clyde s’appuie sur son histoire familiale de migration pour inviter chacun à plonger dans sa propre mémoire, à interroger les flux migratoires, la peur et le désir de l’autre, et nos représentations de l’étranger. Elle a réalisé des entretiens avec sa mère et sa tante qui ont vécu en Tunisie jusqu’à l’indépendance. Un voyage avec sa fille début 2015 à Tebourba (village tunisien dont sa famille est originaire) sur les traces de ses ancêtres, a éveillé ensuite pensées, sensations, inspirations. Donnant la matière à Tunisia, spectacle mêlant textes et images, «archéologie familiale » et fiction, tragédie et humour, réflexion sur l’histoire et le présent colonial de la France, et la Tunisie aujourd’hui.
Réservation : lacommunaute@inavouable.net ou 01 49 45 16 65
- 18h – DANSE BUTOH
Maki WATANABE
Danseuse butô. Née le 28 Janvier 1976 à Sendaï au Japon. Après une formation de danse moderne jazz, elle intègre le monde de la danse butô en 1995 et est initiée par Kazuo Ohno, Masaki Iwana. Installée à Paris depuis 1998, elle y propose en solo de nombreuses performances improvisées et expérimentales ainsi que des créations.
Parallèlement, elle danse dans les pièces de chorégraphes Gyohei Zaitsu, Marie Kazué, Naomi Mutho, etc. Elle collabore également avec des musiciens et des réalisateurs.
ZAITSU Gyohei
Danseur Butô, chorégraphe. Il est installé à Paris depuis 1999. Il privilégie les improvisations en solo dans les lieux les plus divers et il réalise nombreuses performances expérimentales en Europe et au Japon, ainsi que des créations chorégraphiques en groupe, tout en poursuivant sa recherche sur les mouvements du corps, de la nature et du rêve, sous l’ influence des pionniers de la danse butô comme Tatsumi Hijikata et Kazuo Ohno. Il collabore souvent avec des musiciens et travaille également dans le domaine théâtral et cinématographique. Il ouvre son atelier de recherche de danse butô à Paris en 2001 et donne ses ateliers et stages régulièrement à Paris et dans différentes régions en France et en Europe.
Miho Igi
Miho Igi est une musicienne multi-instrumentiste : flûte irlandaise, flûte, Ocaria, flûte Bambou, Melodion, Didgeridoo et chant. Elle a joué dans de nombreux orchestres et ensembles à travers le monde.
- 21h – PERFORMANCE ACOUSMATIQUE EN EXTÉRIEUR
Cette personne là par Morgane Lory – Cie le Don Des Nues
Lors de cette PERFORMANCE ACOUSMATIQUE – où la source de ce qui est entendu n’est pas donnée à voir – un acteur s’adresse intimement à chaque spectateur : Sa voix est légèrement amplifiée et spacialisée, si bien qu’il est difficile de savoir où se situe celui qui parle. Des trajectoires sonores et lumineuses s’adaptent chaque soir au rythme de son récit énigmatique et secret.
Le spectateur est invité à s’allonger sur le plateau du théâtre. Immergé dans le son, baigné dans une atmosphère sonore & lumineuse, le corps peut entrer en résonance avec le récit. Traversé par les vibrations des basses sonores et des faibles intensités lumineuses, il accède à un mode de perception qui n’est plus dominé par la logique et peut se laisser guider par le flux mystérieux des images mentales suscitées par le texte.